---Public Collège -----
                                                          Le journal qu'on lit jusqu'en Norvège !
 
Collège Eugène Delacroix - Roissy en Brie (77)
 
"L'atelier" 

Parce que les élèves de Delacroix ont de l'imagination, de l'humour et de la motivation, Public Collège leur ouvre ses pages. Ici, le seul objectif est de développer leur plaisir d'écrire et votre plaisir de lire.
*Toutes les fautes ne sont pas corrigées, les élèves ont la possibilité de demander au professeur de faire des modifications (même a posteriori).


11/10/2012

"Rédactions pour le plaisir n°2": Vous avez eu une mauvaise note. Racontez. Vous pouvez, bien sûr, inventer.

Quand j'ai eu une mauvaise note

 

Aujourd'hui, avec notre prof principale,  nous avons un contrôle de géo et j'espère que je n'aurai pas une mauvaise note. Je n'ai pas appris. Mais bon, j'aurai peut-être de la chance...
Je suis un peu stressée, je ne vois que des ombres qui m'entourent. J'ai l'impression que les yeux de la prof sont en train de me dire : «ah ! je vais te mettre la pression pour que tu ne réussisses pas ce contrôle».  

Une demi-heure après, le contrôle est terminé. Une semaine après, notre prof nous rend le contrôle. J'ai  0/20. Je stresse, je ne veux pas le montrer à mes parents. Le soir, dès que je le montre à mes parents, ils me disent que je suis privée de sortie etc...

Je me mets à pleurer et me dis qu'il vaut quand même mieux apprendre ses leçons !


F.

 


Activité d'écriture (6e7) : 
Recopiez la première phrase d'un roman policier (Sèvres-Babylone de Gérard Carré) et inventez la suite. Votre texte fera une vingtaine de lignes.

Comme tous les matins, l'homme sirotait son thé au lait en regardant par la fenêtre de la cuisine avant d'aller travailler, puis il alla se laver, faire sa toilette. Il partit au travail à pied, (son travail n'étant pas loin, il y va à pied mais parfois non parce qu'il pleut). A peine arrivé, il partit aussitôt déposer toutes les lettres qu'il devait distribuer. En fin d'après-midi, il rentra au bureau de Poste pour dire à son patron qu'il avait fini sa tournée et qu'il rentrait chez lui pour dormir et se laver mais le patron lui dit : "non!!! vous avez encore du travail". Il repartit faire sa tournée, il  alla à la boulangerie pour chercher à boire  pour éviter de mourir de soif, puis il alla voir si son patron était toujours là. Il vit qu'il n'était pas là, il rentra chez lui pour dormir.

Sa femme rentra du travail et le monsieur dit : "fait à manger !"

A suivre.

A.


   Sujet : Inventez votre rentrée 2012 au collège Delacroix

Postée le 04/10/2012

          Une rentrée meurtrière
 
Un jour de rentrée en 1920 dans le collège Eugène Delacroix, des élèves commencèrent à disparaître. C’est mon arrière-grand-père qui m’a raconté cette histoire.
Le règlement du collège était clair : il ne fallait pas oublier le carnet de correspondance, sinon on ne pouvait pas sortir du collège.
Quelques jours après la rentrée, 5 élèves avaient disparus. Plus personne n’avait de leurs nouvelles.
La seule chose qui était sûre est que le jour de leurs disparition ils avaient oublié leur carnet. Que s’est-il passé après l’heure de colle ?
Deux d’entre eux furent retrouvés dans le bureau du Proviseur et les trois autres dans les cuisines du réfectoire, tous morts. Les 5 victimes sont décédées de la même façon : étouffées, par leur carnet enfoncé dans leur bouche.
L’enquête de police fut longue mais on ne trouva jamais l’assassin.
C’est pourquoi aujourd’hui encore mieux vaut ne jamais oublier son carnet de correspondance au collège Eugène Delacroix.
Ilian (6e7)

 La jalousie est un vilain défaut
 
     C’était une belle journée ensoleillée, mes amies et moi, nous rendions au collège pour la première fois. Nous étions très excitées et stressées.
    Nos parents nous ont accompagnées jusqu’à la grille et sont repartis ensuite. Lorsque les surveillants ont ouvert la grille, nous sommes rentrées. Nous avons marché pour rejoindre la cour et nous nous sommes précipitées vers le tableau d’affichage afin de savoir dans quelle classe nous étions.
      J’ai vu que j’étais en 6ème 7, j’étais très heureuse mais c’était avant de savoir ce qui allait se passer…
Nous devions nous ranger dans la cour et attendre notre professeur principal qui n’est jamais venu ; alors nous avons décidé de rejoindre notre classe. J’avais un mauvais pressentiment et j’avais froid dans le dos. Nous avons frappé à la porte, sans réponse, alors nous sommes rentrés dans la classe et nous avons découvert notre professeur à terre en sang. Nous sommes partis chercher de l’aide mais trop tard, il était déjà mort.
     La police est venue au collège et nous avons appris que l’arme du crime était une arme blanche. Notre professeur s’était fait poignardé plusieurs fois…
        On se demandait qui avait bien pu faire cela, je me suis donc improvisée détective pour mener ma petite enquête. Mais les cours ne devaient pas s’arrêter pour autant, le lendemain, j’avais l’impression que tout était oublié… Je suis donc allée en cours.
      Tout à coup, j’ai entendu pleurer à grosses larmes et j’ai vu mes professeurs d’histoire et de musique qui discutaient. Je me suis approchée et j’ai entendu leur discussion : elles parlaient du meurtre de mon professeur principal. Elles ont dit : « il n’aurait jamais dû dire cela, il nous avait prévenues que si on le menaçait d’aller voir la police, il nous tuerait. »
         Mon enquête avançait … Je leur ai demandées de qui elles parlaient, elles répondirent que cela ne me regardait pas.
       Je leur ai dit que j’allais voir la police, alors elles ont eu peur et m’ont raconté l’histoire
          En fait, l’adjoint du Directeur du collège avait dit à mes trois professeurs qu’il voulait se débarrasser du Directeur, et oui, il était jaloux puisqu’il avait tout le pouvoir.
 
      Son plan a échoué puisque mon professeur principal l’a menacé d’aller à la police et c’est pour cette raison qu’il l’a tué.
          Je décidai donc d’aller fouiller pour trouver des preuves dans le bureau de l’adjoint du Directeur et j’ai découvert l’arme du crime, dans le tiroir, encore ensanglantée.
       J’ai alors porté l’arme du crime à la police qui a relevé les empreintes pour confirmer qui était le tueur : l’adjoint du directeur.
 

 
Mathilde. V. (6e)

LE MONSTRE DU COLLEGE


C’est le jour de la rentrée, je pars en vélo pour la 1ère fois, après avoir fait la bise à Maman.
Dès que j’arrive au collège Delacroix, je vois mes copains et me dirige vers eux ; Pierre n’est pas là, et Léo nous dit que l’on a Français. Alan me demande si je n’ai pas vu Pierre ? Ilian, qui n’a pas encore parlé, dit d’une voix bizarre qui n’est pas la sienne : nnnnon non il est sursûrement pppas encore aririvé.
Au début du cours de français, le professeur fait l’appel mais Pierre n’arrive toujours pas. « Pierre », dit le professeur, PIERRE répète –t-il plus fort !  Puis Pierre apparait enfin à la porte : « désolé m’seuier ».

Assis à coté de moi, je lui demande pourquoi il n’était pas là ce matin ; il ne me répond pas, faisant semblant de m’ignorer.
Ddriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing ! « vous pouvez sortir » dit M. Guilbeau (notre professeur de français).
Au début de la récré, notre copain n’est encore pas là ! On pense tous que quelque chose cloche chez lui, pourtant l’année dernière il était en forme... Puis Pierre revient enfin avec un peu, même un peu beaucoup, de colle sur lui.
Ddriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing ! C’est l’heure du cours de maths maintenant. « Entrez », dit M. Sottou (notre professeur de maths) .
Ddriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing ! Pour aller en Anglais, on fait la course. « Je prends l’escalier A et vous ? »  « Le C ! » «  Ok. »  « Il y avait beaucoup de monde dans l’escalier A et même ...              …une inscription bizarre, un peu effacée et mal écrite : ar été de do  é c u 
 
MONSTRE DU CAHIER
(Arrêter de donné cour)Le monstre de cahier
Quand  j’arrive en cours d’anglais, je ne vois ni  Ilian ni Pierre ; mais la prof étendue par terre, raide morte … j’entends des cris : hihihi, hahaha, au secours, youpi un monstre, vite il faut appeler la C .P .E Madame Bernard et l’infirmière !
Je vois alors un géant noir, et en m’approchant je m’aperçois que le monstre a plein de cahiers. Je décide de lui lancer des cahiers mais sa « carapace » de cahier le protège. Puis je vois que le géant n’a qu’un œil et que le vidéo projecteur de la professeur arrive a l’œil du monstre et qu’il n’a pas de livre à l’œil. Donc j’allume le vidéo projecteur dans l’œil du géant du cahier et il se recule puis se cogne contre le tableau et s’assomme. Je vois une ouverture que je déchire encore plus puis je vois le ou les coupables…
FIN

 
 
A votre avis qui-est-ce ?

 
Clément M. (6e)

Rédaction postée le 01/10/2012
Le chien zombie…
 


    C’est la fin des vacances, tous les enfants sont rentrés. Demain, c’est la rentrée et Pierre est déjà pressé de découvrir le collège Eugène DELACROIX. Il s’endormit à 21h en ayant hâte d’être au lendemain.

      Le matin, il était si pressé qu’il en oublia son petit déjeuner. Il partit de bonne heure et attendit  15 minutes devant la grille. Quand elle ouvrit, il était le premier à entrer. Toute la journée, il allait être avec son professeur principal.

         A la récréation de 10h il parlait avec son meilleur ami –Ilian- quand la sonnerie retentit. Mais quand ils entrèrent dans le hall, une forte odeur s’y était installée. Un énorme chien d’au moins 2,50m de haut  mordait tous les élèves et Ilian qui le contrôlait-car il criait des instructions que le chien exécutait-, qui se transformaient en zombi 2 minutes après. C’était le plus gros chien qu’ils n’avaient jamais vu. Terrifiés, ils allèrent voir chez la CPE du collège. Quand ils toquèrent, il n’y eut aucune réponse, mais quand ils ouvrirent, la CPE était étendue par terre. Et bien qu’il ait essayé de le rétablir, il n’y avait pas de réseau. Maintenant, tous les élèves étaient déjà transformés en zombies. Pierre sentit approcher son heure de gloire, il courut à la cantine et prit le plus gros couteau qu’il vit, et repartit en sens inverse, prit le couteau à deux mains, courut entre les zombies, sauta en avant puis planta le couteau dans le torse du chien qui tomba raid-mort sur la faïence. Ilian tomba assommé.

    Le lendemain, il était paru dans le journal « CONDAMNATION D’UN MINEUR ». Nous lûmes l’article et comprîmes qu’il était condamné à mort…
FIN

 
Léo W. (6e)
Rédaction postée le 01/10/2012
 

Une superbe rentrée
     C'était hier que j'étais impatiente  parce que le lendemain c'était la rentrée des 6e. Donc je fus allée comme tout le monde dans la cour pour aller voir les affiches de classe. C'est là que j'ai vu que j'étais en 6e2. Je suis allée me ranger avec mes camarades de classe. Le principal M. Badri nous a expliqué quelques règles. C'est là que M. Guilbeau nous a emmené dans notre salle de classe. Je ne le savais pas encore mais M. Guilbeau était mon professeur principal. C'est alors qu'on nous a remis nos carnets, nos emplois du temps provisoires. J'ai fait la connaissance de mes camarades de classe.
     Il y avait la pause repas.
    Ensuite nous avions repris les cours. On nous avait encore distribué des feuilles. C'était la fin de ce cours donc c'était l'heure de la récré. Ensuite c'est reparti pour l'SVT avec Mme Jeannetot. Mais il y avait une petite erreur le premier jour : il n'y avait pas SVT. Donc nous avons attendu 15 à 20 minutes dans le couloir. Des surveillantes sont venues nous voir car on faisait un peu trop de bruit. On leur a dit qu'il y avait une petite erreur. Donc M. Badri a fait une annonce afin que M. Guilbeau vienne nous chercher. Tout était réglé ! Il ne restait plus que cinq minutes avant la fin du cours.
Ca a sonné. Ce qui veut dire : fin des cours pour aujourd'hui. C'était une belle rentrée ou même une SUPERBE rentrée !
Shwetha R. (6e)
Rédaction postée le 01/10/2012 -18h55.
 
La rentrée 2012-2013
           Le jour de la rentrée, j'étais tout content d'entrer au collège. Mais pendant que je me brossais les dents, j'avais un pressentiment : cette rentrée serait bizarre. Je me préparai et sortis de chez moi. Et c'est là que je vis des embouteillages partout ! Il était difficile de circuler mais on parvint quand même à avancer. J'étais presque arrivé au collège. En chemin, plusieurs énormes chiens à trois têtes se mettaient à me poursuivre. C'était très bizarre. J'étais arrivé au collège, le portail était devant moi. mais il commençait à se refermer et je n'avais pas pu entrer. Les chiens sautèrent sur moi, mais je grimpais le portail et arrivais où il y avait les professeurs et les élèves. Le principal fit un discours : "bonjour à tous. Nous voilà enfin arrivés à la rentrée 2012-2013. Je vais vous citer quelques règles du collège. Interdit au portable. Interdit de sécher les cours. Interdit de manquer de respect à quelqu'un. Et pour les nouveaux, je vous préviens : il y a plein de monstres dans le collège."

Une fois entrés dans la classe, le professeur dit de nous asseoir un par table. Quelques minutes plus tard, des monstres entrèrent dans la classe. Chacun s'était assis à côté de nous. Nous étions effrayés, mais nous avons gardé notre calme car nous n'avions pas le droit de prendre la parole sans la permission du professeur mais j'avais compris que nous allions passer notre année avec des monstres.
Irshat N. (6e)

Drôle de rentrée
 
Je suis impatiente car demain c’est la rentrée des classes. Stressée et pressée à la fois de retrouver mes amies. Oh oh ! Je suis en retard ! Je me presse donc pour être à l’heure. J’engloutis mon petit déjeuner et je me retrouve dans le bus (totalement écrasée).
 
Une fois arrivée au Collège, tout le monde se précipite sur les listes. Je m’aperçois que je me retrouve avec aucune personne que je connais. En rentrant en classe, nous nous installâmes. Tout d’un coup, notre professeur se transforme en lion ! Nous étions choqués, bouche bée. Il s’est mis à parler comme nous ! Nous le comprenions, c’était incroyable ! On se regardait, que faire ? se sauver ? l’écouter ? mais s’il bondissait sur nous ?
 
Une sonnerie forte retentit. Je me réveillai brusquement dans ma chambre. Ouf ! J’ai compris qu’il s’agissait d’un rêve.
Soulagée, habillée, coiffée, j’ai pu arriver à l’heure au Collège.
Dans la classe se tenait le professeur monsieur Guilbeau. Heureuse que ce ne soit pas un lion …

 
Selma (6e), septembre 2012
 

 
 



Créer un site
Créer un site